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Environnement

Des sources glaciaires perchées à 2750 m à la confluence avec l’Isère au Pont Royal à 290 m d’altitude, l’Arc parcourt près de 127 km en décrivant une large courbe. Les différents massifs montagneux traversés dictent au cours d’eau son chemin pour dessiner cette vallée tantôt étroite, tantôt large qu’est la Maurienne, rythmée par les formes sculptées par son glacier originel.

 

 

Fleurs sauvages, chardons, flore, végétation

 

 

Une nature riche et variée
 

La richesse de la biodiversité de la Maurienne s'explique par les fortes contraintes de relief et de climat qui s'imposent à la flore et à la faune.


Les différentes stratégies d'adaptation ainsi employées par les organismes vivant se traduisent par la variété des espèces qui colonisent les milieux. Particularité et rareté vont de pair : Sabot de Vénus, Tulipe de Maurienne…

En témoigne aussi l'importance de la couverture du territoire mauriennais répertorié dans les différents zonages règlementaires ou de protection (Site classé, site inscrit, parc national, réserve naturelle, réserves de chasse et de faune sauvage, arrêté de protection de biotope, Zone naturelle d’Intérêt Ecologique Faunistique et Floristique...)

L’étagement de la végétation
Le relief et l’altitude conditionnent les milieux naturels : c’est l’étagement de la végétation.

Ainsi, dans la vallée de l’Arvan-Villards, s’observent la série de la hétraie-sapinière, la série intra-alpine du sapin et de l’épicéa à l’étage montagnard, la série subalpine de l’épicéa à l’étage subalpin, et, à l’étage alpin, la série alpine sur silice.

Au hasard des éboulis, des zones humides et marécageuses et des espaces pastoraux, la flore se spécialise au sein de ces différents étages.
 

 

 

 

Bouquetins, marmottes et mouflons

La faune mauriennaise


Du fait de la diversité des habitats, la faune est également très riche, de nature typiquement montagnarde. Les adaptations à la rudesse du climat se traduisent par la présence de nombreuses espèces reliques de l’ère glaciaire : tétras-lyre, lièvre alpin, lagopède alpin, perdrix bartavelle, marmotte…

Enfin, la richesse de la population d’ongulés sauvages tels les chevreuils, cerfs, chamois, bouquetins a certainement joué un rôle dans la colonisation de la Maurienne par le loup.

 

 

 

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